M. Colloghan
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jeudi 7 août 2014

Soutenons le peuple argentin face à la finance prédatrice et à l’impérialisme états-unien




Communiqué 6 août 2014
       

Le 23 juillet, la justice américaine a déclaré l’Argentine en défaut de paiement sur sa dette souveraine, sous la pression de deux fonds vautours dont le seul objectif est de pratiquer de l’extorsion de fonds au mépris du peuple argentin.

lundi 26 août 2013

Que faire de la dette et de l’euro ?

Un manifeste


Daniel Albarracín, Nacho Álvarez, Bibiana Medialdea (Espagne) Francisco Louçã, Mariana Mortagua (Portugal) Stavros Tombazos (Chypre) Giorgos Galanis, Özlem Onaran (Grande Bretagne) Michel Husson (France) Page web : http://tinyurl.com/euro13


La crise

L'Europe s'enfonce dans la crise et la régression sociale sous le poids de l'austérité, de la récession et de la stratégie de « réformes structurelles ». Cette pression est étroitement coordonnée au niveau européen, sous la direction du gouvernement allemand, de la Banque centrale européenne et de la Commission européenne. Il y a un large consensus pour dire que ces politiques sont absurdes et même qu’elles sont menées par des « analphabètes »: l'austérité budgétaire ne réduit pas la charge de la dette, elle engendre une spirale récessive, toujours plus de chômage, et sème la désespoir parmi les peuples européens.

lundi 3 juin 2013

1998-2013 : Attac, 15 ans et toujours d'attaque !

Depuis 15 ans, Attac, l'Association pour la taxation des transactions financières et pour l'action citoyenne - fondée le 3 juin 1998 - mène des actions en vue de la reconquête par les citoyens du pouvoir que la sphère financière exerce sur tous les aspects de la vie.

Attac est toujours au cœur des des principales mobilisations altermondialistes : contre l'OMC à Seattle en 1999 jusqu'à la critique des accords de libre-échange négociés aujourd'hui par l'UE, que ce soit avec les Etats-Unis, le Canada ou des pays du Maghreb ; lors des sommets du G8, puis du G20, des mobilisations contre la guerre en Irak, ou encore avec le mouvement pour la justice climatique,... Attac est l'une des organisations à l'initiative du Forum social mondial, de Porto Alegre en 2001 à Tunis en mars 2013, dernière édition qui a confirmé la vitalité de l'altermondialisme, redynamisé par les révolutions arabes et les mouvements Indignés-Occupy.

mercredi 29 mai 2013

Les peuples unis contre la troïka à Paris

Manifestation internationale le 1er juin 

Suite à l'initiative de citoyen-nes du Portugal, de Grèce, d'Espagne et et de France, nous relayons auprès des citoyen-nes, associations, mouvements, organisations politiques et syndicats de France, l’appel à une manifestation internationale contre la Troïka* le 1er juin prochain**.
Cette initiative a été lancée à Lisbonne le 26 avril dernier par des militant-es de cinq pays européens, dont le mouvement portugais « Que se lixe a Troïka » (« Que la Troïka aille se faire foutre ») qui a déjà mobilisé plus d’un million de personnes dans les rues du Portugal les 15 septembre et 2 mars derniers. Elle entre en écho avec toutes les résistances citoyennes, sociales, syndicales en cours et à venir (blockupy Francfort les 31 mai et 1er juin, Altersommet à Athènes les 7 et 8 juin...).

vendredi 26 avril 2013

Rencontre méditerranéenne contre la dictature de la dette pour la souveraineté populaire

A l'initiative de RAID Tunisie et du Front Populaire, une rencontre  internationale s'est tenu les 23 et 24 mars 2012 à Tunis (le week-end précédent le FSM). Elle a réuni une vingtaine de délégations de 13 pays du Bassin méditerranéen et au-delà.

Le 23 après-midi, plusieurs exposés et débats ont traité de la situation de la dette dans le Bassin méditerranéen et leurs conséquences avec une analyse plus poussée sur la situation pour les pays les plus concernés, d’une part au Sud,  en Tunisie et en Egypte, d'autre part au Nord, dans l'Etat espagnol, en Grèce et au Portugal.

Le manifeste final de la rencontre méditerranéenne de Tunis contre la dette

AG Front popul. 233 1Réunis à Tunis du 23 au 24 mars 2013, à l’appel du Front Populaire, nous, représentants de partis politiques progressistes de la région méditerranée, avons adopté la résolution suivante.[1]

1- Depuis plus d’un quart de siècle, la mondialisation capitaliste néolibérale n’a cessé d’étendre sa domination sur la planète toute entière. Les processus qu’elle met en œuvre accélèrent la marchandisation du monde au profit d’une minorité et confisquent la citoyenneté et la souveraineté des peuples et des Etats. Ils aggravent l’insécurité économique et les inégalités sociales au Nord et au Sud et creusent davantage le fossé qui sépare les pays riches et les pays dits pauvres.

mardi 2 avril 2013

FSM Tunis : Déclaration de l’Assemblée dette réunie à Tunis le 29 mars 2013


30 mars 2013

Considérant que la dette a été, depuis le XVème siècle, l’instrument historique principal de la colonisation pour spolier, dominer, soumettre, humilier et détruire les peuples et leurs traditions,
Considérant que la dette du Sud a déjà été remboursée plusieurs fois et qu’elle constitue, au Sud comme au Nord, un puissant transfert de richesses du travail et vers le capital,
Considérant que la dette est également le levier fondamental de l’ingérence étrangère et des puissances financières avec la complicité des élites au pouvoir, du viol de la souveraineté des pays, de l’appauvrissement généralisé des peuples et de la régression brutale de leurs droits économiques et sociaux,

dimanche 13 janvier 2013

Abattre la dictature de la dette pour libérer la Tunisie !

Fathi Chamkhi -Photo RN 08/2012

La dette constitue, depuis la seconde moitié du 19ème siècle, la pierre angulaire de la domination étrangère en Tunisie ; en ce sens, elle est une donnée fondamentale de son histoire contemporaine. Elle y joue un rôle antinational, antidémocratique et antisocial !
Cette domination a fini par pousser les classes populaires à la révolte. Il ne leur a fallu que 29 jours pour venir à bout du dictateur, garant de la stabilité de l’ordre capitaliste, il leur faut maintenant en finir avec le régime de domination lui-même, pour pouvoir disposer librement d’eux-mêmes et libérer leur propre avenir.